Le chêne et le tilleul, de Serge Soulié

Le chêne et le tilleul
Le chêne et le tilleul

Après la mort, sommes-nous toujours présents au milieu des vivants ?

Le modèle de la résurrection de Jésus le suggère. Celui-ci, bien que déposé dans le tombeau, apparait parmi les vivants. Femmes et hommes, tous en témoignent.

Ce texte de Serge Soulié, nous laisse à penser qu’il peut être à la fois vivant et mort, présent et absent. À chacun de choisir la manière dont il reçoit le texte biblique.

Puis, dans ce testament spirituel plein d’émotions, en forme de clin d’œil, l’auteur nous invite à lire un portrait de lui-même par lui-même. L’ouvrage se termine par une forme d’ode à l’amour, à l’amour éternel, tel qu’il le vit depuis soixante ans avec Francette, son épouse. Cette extraordinaire relation est illustrée par la légende grecque de Philémon et Baucis : ceux-ci, après leur mort, continuent à habiter le monde des vivants sous la forme de deux arbres, un chêne et un tilleul.

L’auteur : Serge Soulié est pasteur de l’Église protestante unie de France. Psychologue clinicien de formation, il a été tour à tour professeur de l’éducation nationale, pasteur, psychologue et directeur d’un centre de soins spécialisé en addictologie.

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2 réponses

  1. Wilfried Kauder dit :

    Bonjour,

    Merci des quelques pages que vous avez choisies pour présenter votre oeuvre littéraire, biblique et psychothérapeutique.

    J’apprécie beaucoup l’image, la photo, l’image et la métaphore du chêne et du tilleul. Nous avons un chêne dans notre jardin depuis quelques années et il y a l’avenue “Sous les tilleuls” à Berlin d’où je viens.

    Etant âgé de 71 ans entre temps, j’ai aussi “acquis” une compréhension plus ou moins figée – une foi de “ma” religion protestante. Je prends de plus en plus de distance avec des interprétations “lumineuses – spirituelles” et j’essaie de “percer” les côtés réels et concrets dans les textes.
    Pour moi, la religion monothéiste est ( devenue ) un outil très approprié pour “rechercher” le détail ( le “un” ) comme l’entité ( le tout, universel ), ce qui a permis aux hommes des anciens temps aussi bien qu’aujourd’hui d’introduire un procédé dialectique dans la recherche.
    Sur le plan religieux, c’est Dieu qui représente cette dialectique.

    L’empathie, je la trouve dans la “fantastique” citation des 10 commandements, avec: “Aime ton prochain comme toi – même”.
    Pendant chaque culte, je constate que la dialectique de l’amour est réduite à l’amour du prochain !
    Chaque psychothérapeute dirait qu’un “patient” ne pourrait pas s’occuper des autres s’il n’arrive pas à s’occuper – avant – de soi – même !

    J’ai du mal maintenant à suivre la “double – existence” de Jésus en tant qu’homme et Dieu, ( pour ne pas parler des “miracles corporels qui entourent sa vie familiale et naissance ); j’étais content de tomber sur nun livre d’Albert Schweitzer – sa thèse de maîtrise en théologie ) qui avait comme but de révéler, dans les textes, comment Jésus a peut – être pris conscience de son double existence au courant de sa vie et de sa mort – le bébé ne peut pas savoir qu’il est divin, je pense !

    L’apparition de Jésus à ses disciples, après sa mort et “disparition”, me paraît compréhensible dans le sens que la douleur et le deuil causées par la mort, fait réapparaître le défunt dans toutes les facettes de sa vie; c’est une assurance et consolation. cette “Fata Morgana” aide aussi à faire perdurer l’existence et ses actes constituant la communauté dans les textes.

    Pour finir je coudrais bien sauver l’honneur du psychanalyste freudien. J’ai toujours apprécié, après un certain temps au moins, que cette “distance” émotionnelle – emphatique” était très utile, car au lieu de s’identifier au patient, le thérapeute mettait des mots, explications des ces emotions, du contexte et de la structure de la situation. Il donne ainsi la liberté du côté du patient pour travailler – vivre avec..

  2. ZUBER Catherine dit :

    Merci de nous avoir indiqué ce livre.

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